Bourgogne

Groupe Galile - Un remue-méninges autour de l’usine 4.0

Groupe Galile - Un remue-méninges autour de l’usine 4.0

L’usine de demain ? Chez Groupe Galilé, c’est à l’ordre du jour. Ce jeudi dans les salles de réunion du complexe historique d’Alésia Eric Michoux et Jean-Claude Boyer ont réuni les cadres dirigeants du pôle industrie pour un remue-méninges original.

Selon Eric Michoux, Pdg de Groupe Galilé,  « nous vivons une mutation industrielle et sociétale sans précédent. C’est une autre façon d’appréhender les métiers de demain que nous devons adopter dès à présent parce que, très vite, va se poser la question du devenir de nos entreprises. Donc de l’emploi et de nos salariés ». Lorsqu’on a dans son giron des entreprises de pointe comme P.I. (Clermont Ferrand), Farman (Joué les Tours) ou bien encore Escofier (Chalon), M.A. Industrie (Remiremont), Provea et Manusystems (Venarey les Laumes) , Corvaisier (Tours) , c’est aux avants postes de la technologie internationale qu’on se situe. Entre les outils connectés de l’usine chalonnaise et les robots collaboratifs tourangeaux, il y a du grain à moudre. « Soyons inventifs, imaginons et bougeons avec ce monde qui bouge » a réaffirmé le président Michoux.

Jean-Claude Boyer abonde en ce sens et décline l’avenir du Groupe sur un collectif gagnant. Chaque entreprise du Pôle Industrie seule, n’est rien. Par contre, en utilisant les ressources de chacune et en les mettant en commun, tout est possible. Et c’est là, toute l’intelligence du système, les acquisitions d’entreprises ne se font pas au hasard, mais dans un but bien précis, sur des thématiques qui, à y regarder de près, s’ajustent parfaitement, en ordre de bataille pour affronter les marchés internationaux. Et ça fait quinze ans qu’Eric Michoux a pris cette voie….on commence à en voir les résultats.

Evolution des marchés, évolution de l’offre technique, évolution de l’organisation interne, tout en intégrant la donnée environnementale et une révision nette de la position sociétale du Groupe….Autant de pistes mises sur le métier et qui serviront de bases de travail pour la décennie à venir.

A force de faire de la veille économique, de parcourir les salons de la planète, d’être à l’écoute des interrogations de la clientèle et de faire remonter les infos venues de la vigilance des commerciaux qui analysent les nouvelles demandes Jean-Claude Boyer est résolu « on ne va pas regarder le train passer, on va franchir la barrière technologique ».  Dans l’immédiat ce sera un super cloud  qui servira, à la fois de lien technique avec les clients, ainsi que de base de données pour toutes les équipes techniques et commerciales du Groupe.

Mais ces développements ont un coût et la direction de Groupe Galilé a noué un partenariat solide avec des structures influentes et efficaces comme la BPI ou le CETIM. Eric Michoux a, au passage, « salué les compétences et l’écoute constructive de la BPI, partenaire fidèle du Groupe Galilé. »