Chalon sur Saône

Objectif mobilité pour le bureau des Relations Internationales de l'IUT de Chalon sur Saône

Objectif mobilité pour le bureau des Relations Internationales de l'IUT de Chalon sur Saône

Le bureau des Relations Internationales de l’IUT de Chalon-sur-Saône est représenté par Thierry Ray, enseignant d’anglais. Depuis qu’il est arrivé à l’IUT en 2014, son seul credo : faire partir les étudiants à l’étranger !

« Je pense que les mobilités à l’étranger doivent avoir lieu très tôt dans le cursus des étudiants pour faire les évoluerrapidement vers des profils plus ouverts et internationaux. ».

Les possibilités offertes par l’IUT de Chalon-sur-Saône s’élargissent chaque année : stages en Europe mais avec des accords spécifiques avec des universités en Malaisie, à Hong Kong ou au Québec.

Les poursuites d’études après un DUT sont aussi possibles dans le cadre des accords DUETI. Dès l’année prochaine,les étudiants pourront aller vivre un ou deux semestres à l’étranger pour y suivre des cours en université en relation avec leur DUT. Des accords viennent d’être signés avec les universités de Santander ou Oviedo et certaines proposentdes cours en anglais. Double bain linguistique idéal pour travailler son espagnol et son anglais en même temps !D’autres accords de ce type sont en cours de signature avec l’Irlande et l’Allemagne notamment.

Thierry Ray travaille aussi depuis plus d’un an sur un diplôme multiple avec l’Institute of Technology de Tralee en Irlande et l’université de Bologne en Italie.
« Ce Diplôme Universitaire sera ouvert aux étudiants ayant fait une licence professionnelle Gestion Technique et Economique des Agroéquipements / Automatisme et Robotisation en Elevage, l’idée étant de former de futurs responsables à dimension européenne. L’ouverture est prévue pour septembre 2019 et permettra à une classe tri-nationale de passer 3 mois dans chaque pays partenaire pour y suivre des cours, visiter des entreprises, mais aussi travailler l’aspectculturel et linguistique essentiel à la réussite professionnelle à dimension européenne. »

Thierry Ray dit vouloir multiplier ce type de diplômes, même si leur mise en route demande un travail énorme !

« Bien que nous soyons 3 européens de nombreuses différences pédagogiques, réglementaires et culturelles subsistent.Mais c’est ce qui rend la tâche intéressante. »

D’autres projets sont en cours et Thierry Ray est en contact permanent avec les étudiants pour les informer et lessoutenir dans leurs démarches.

« Cette année nous avons envoyé 5 étudiants en Malaisie, deux à Hong Kong, un à Djibouti et, entre autre, nous avons une étudiante qui a trouvé un stage passionnant dans les musées de Berlin où elle caractérise des poteries vieilles de 5000 ans ! »