Châtenoy le Royal

Visite parlementaire de Christophe Sirugue

Visite parlementaire de Christophe Sirugue

La Municipalité châtenoyenne recevait dans la salle du Conseil Municipal, Christophe Sirugue, l’actuel Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances chargé de l'Industrie, du Numérique et de l’Innovation, pour une visite devenue quasi traditionnelle pour celui qui a été et est aussi député de la Circonscription.

L’occasion pour le Ministre de faire un point de ses diverses actions sur la circonscription en tant que député, puis de donner quelques informations relatives a sa fonction actuelle. Bien évidemment surtout en ce qui concerne les enjeux locaux comme la RCEA et ses travaux en cours ou encore l’enjeu en matière hospitalière avec ce bassin hospitalier que représente Chalon-sur-Saône, Le Creusot et Montceau. « Un enjeu majeur avec des priorités existantes qu’il appartient à chacun de définir clairement. » a souligné Christophe Sirugue.
Ce qui a permis à Marie Mercier, Sénateur-Maire de Châtenoy-le-Royal de rebondir sur certains points tel que la fermeture de la Halle aux chaussures, dossier suivi par le Secrétaire d’Etat compte-tenu des directions prises par direction financière du Groupe Vivarte qui gère cette situation actuelle dans une modification du système de ventes. De quoi donner un peu d’inquiétudes aux salariés ainsi qu’aux zones d’activités qui ont été implantés autour de ces activités.

Un point également évoqué dont il est bon de réfléchir : « l’intelligence artificielle » ou de plus en plus l’homme est remplacé par des robots et autres logiciels. Un débat qui ne date pas d’aujourd’hui mais dont on peu s’inquiéter sur la rapidité à laquelle s’implante cette « méthode ». Autre enjeu majeur auquel il faudra sans doute que le législateur se penche très rapidement en matière d’indépendance, de respect, de confidentialité, mais aussi dans l’avenir des salariés du futur et dans les relations clients-fournisseurs.
Un vaste débat pour aujourd’hui et dans l’avenir de demain tout proche, ce qui a fait dire à Marie Mercier que : « Ce n’est pas les querelles de clocher qui font l’avenir de notre territoire. »

JCR