Châtenoy le Royal

8 mai 1945, une date historique qui doit rester dans les mémoires

8 mai 1945, une date historique qui doit rester dans les mémoires

En répondant présent, les Châtenoyens ont voulu accentuer le devoir de mémoire dans une paix retrouvée au terme d’une sale guerre.

Commémorer le 73e Anniversaire de l’Armistice du 8 mai 1945 se doit d’être un devoir de mémoire pour et dans l’Histoire de notre Pays, mais aussi de l’Europe, faisant suite au débarquement en Normandie du 6 juin 1944, autre évènement historique considérable qui libérera le territoire national et l’Europe, du joug nazi. La commune de Châtenoy-le-Royal a célébré comme il se doit, cette date du 8 Mai marquant la fin des hostilités de la Guerre 39-45 avec la signature de l’Armistice.

Un rappel historique nécessaire dans le contexte de la vie d’aujourd’hui afin de ne pas oublier. Un vrai devoir de mémoire que les enfants des écoles ont exprimé au travers de lectures rappelant cette période marquée par de nombreuses atrocités, persécutions, exterminations dues à la bêtise d’un homme fou et ambitieux et malheureusement suivi par d’autres.

En marquant ces instants de mémoire, eu égard aux Châtenoyens morts pour la France, les enfants entourant Monsieur le Maire et Conseiller départemental, Vincent Bergeret, Madame le Sénateur, Marie Mercier et Madame la vice-présidente du Conseil départemental et Conseillère régionale, Isabelle Dechaume ont ainsi perpétué et rappelé, à ceux qui pouvaient encore l’ignorer, que cet Armistice a ouvert la porte à une union fraternelle des Alliés pour la défense de la Liberté.

Un sens perçu par toutes celles et toux ceux réunis devant les Monuments aux Morts : les élèves et leurs instituteurs, les représentants de la Police Nationale et de la Base Pétrolière Inter Armes, les présidents d’associations, sans oublier les Anciens combattants présents lors de cette cérémonie.

Un salut des Châtenoyens réunis autour des Porte-drapeaux des associations d’Anciens Combattants, souligné par l’Harmonie Municipale avec les accents de l’hymne national et de la sonnerie aux Morts. Instant très solennel dont il est bon de ne pas en oublier le sens et la raison vis à vis de ceux qui semblent en avoir perdu mémoire.

JC Reynaud