Châtenoy le Royal

Sur la commune, pose de la première semelle de délestage rue de la Liberté

Sur la commune, pose de la première semelle de délestage rue de la Liberté

Depuis ce matin mercredi 8 aout 2018, l’entreprise Pascal Guinot TP est à pied d’oeuvre pour réaliser une « semelle" de ralentissement au croisement de la rue de la Liberté, de l’avenue Jean Moulin et de la rue des Erronges.

Un chantier annoncé lors d’un précédent Conseil Municipal et entrepris surtout pour délester le Nord de la RD 978, trop empruntée par des voitures venant de la Zone Nord de Chalon pour se rendre sur la cote chalonnaise supprimant ainsi les stops de la rue de Liberté. Une circulation devenant de plus en plus dangereuse de par sa fréquentation, et dérangeante pour les habitants des quartiers traversés. 

Cette nouvelle implantation fait partie d’un plan de délestage de la circulation sur la commune afin d’obliger les voitures particulièrement à emprunter l’avenue du Général de Gaulle (route d’Autun) d’un coté pour rejoindre la route de Givry par la voie transversale, dite «le barreau», construite aussi afin de résoudre cette circulation, tant pour les Poids lourds afin d’éviter la rue du Bourg, que pour les véhicules légers transitant sur Châtenoy-le-Royal.
Une semelle posée sur une épaisseur de 10 cm, de façon cruciforme sur ce carrefour et représentant un coût de 32 000 €/TTC faisant également office de ralentisseur.

Une prochaine opération « semelle » est programmée en septembre-octobre 2018 dans le quartier du Tillet, lui aussi trop fréquentée par la traverse de véhicules venant de ou allant en Cote Chalonnaise coté Givry, entrainant des risques inévitables d’accidents et perturbants pour les riverains.

Le Maire Vincent Bergeret et son adjoint à la voirie, Roland Bertin étaient sur les lieux de ce chantier, en compagnie de François Boissier, ingénieur chargé des travaux sur la commune. Pour le Maire : « Cela était une nécessité face au trop important flux de circulation, un flux à risques certains, mais aussi très dérangeant pour la vie de nos quartiers, sans compter la dégradation et le cout de l’entretien de telles voiries au fil du temps, tout ceci à la charge de la commune s’entend, donc des Châtenoyens. »

JC Reynaud