Saône et Loire

Près d'un million d'euros mobilisés pour des travaux en faveur des policiers et gendarmes de Saône et Loire

Dans le cadre du plan France Relance, 986 463 € vont être consacrés à la réalisation de projets de rénovation et de modernisation dans le département de Saône-et-Loire

L’amélioration des conditions de travail et de vie des policiers et des gendarmes est une priorité du ministre de l’Intérieur.

Plusieurs demandes ont ainsi été portées par le ministère de l’Intérieur dans le cadre de l’appel à projets du plan de relance dédié à la rénovation énergétique des bâtiments de l’État lancé conjointement par le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance et par le ministère délégué aux Comptes publics.

Conformément aux arbitrages rendus par le Président de la République et le Premier ministre, plusieurs opérations dans le département de Saône-et-Loire ont bénéficié du financement nécessaire pour être engagées dans les tout prochains mois : ce sont 986 463€ qui seront ainsi consacrés à la réalisation de travaux immobiliers.

Ces investissements pour la modernisation des bâtiments permettront notamment de procéder :

  •   à la réhabilitation thermique de l’hôtel de police de Mâcon,

  •   à l’optimisation énergétique de la caserne la Verchère à Charnay-lès-Macon,

  •   à l’installation d’une borne de charge des véhicules électriques sur ces deux sites,

  •   ou encore au remplacement de la chaudière sur le site partagé par les douanes, la

    direction territoriale des territoires, Voies Navigables de France et la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement.

    Ces financements viennent s’ajouter à ceux dont dispose le ministère de l’Intérieur pour la poursuite de ses projets courants et qui pourront être mobilisés pour le territoire.

    Outre une amélioration des conditions de travail des forces de l’ordre, ces investissements représentent un levier important de soutien au secteur économique local, dans une période où l’activité est fortement impactée par la crise sanitaire.