Opinion de droite

Pour Sophie Montel (FN), les "socialistes sont adeptes de la préférence étrangère"

Le maire de Besançon Jean-Louis Fousseret est généreux, et il veut que ça se sache. Aussi a-t-il convoqué la presse pour accueillir dans sa ville les premiers clandestins -gageons que ce ne seront pas les derniers-. Peu importe ce qu'en pensent les habitants, Jean-Louis Fousseret a pu repartir chez lui la conscience tranquille, avec le sentiment du devoir accompli, et peut-être a-t-il croisé sur son chemin l'un de ces 3,5 millions de français mal logés que le système UMPS a oublié.

 

Je pense tous les jours à mes compatriotes trop nombreux dans cette situation, et je condamne fermement cette politique de la préférence étrangère qui permet à quelques élus déconnectés de se donner bonne conscience au détriment du reste de nos nationaux.

 

Je rappelle qu'en France, en juin 2015, il y avait 1.863.762 demandes de logement social non satisfaites dont 18.244 pour la seule Franche-Comté. Je choisis moi de mettre les nôtres avant les autres. Il n'est pas supportable pour ces familles françaises en attente d'un logement de se voir mises de côtés pour faire de la place à des immigrés clandestins tout juste arrivés illégalement sur notre sol. Car dès lors, que signifie encore la citoyenneté française si être clandestin, et donc enfreindre la loi, permet d'obtenir logement meublé, allocations en tout genre et remboursement de tous les frais médicaux ? Dans le même temps, les Français doivent eux se serrer la ceinture : ils voient leurs médicaments être déremboursés, leurs impôts augmenter, leur pouvoir d'achat se réduire comme peau de chagrin. C'est à eux que je m'adresse et c'est à leur service qu'élue présidente, je mettrai la région Bourgogne, Franche-Comté.

 

C'est aussi pourquoi ma première décision de présidente sera de mettre fin aux subventions de 1 000€ par migrants versées par nos deux régions ; une telle subvention n'est ni juste, ni morale, ni pragmatique puisque cela constituait une vraie pompe aspirante à l'immigration. Il est temps de remettre du bon sens dans la gestion régionale.