Elan Chalon

ELAN CHALON - Michel Colombet «Avec l’Elan on vit un miracle permanent»

ELAN CHALON - Michel Colombet «Avec l’Elan on vit un miracle permanent»

Dans la vie de tous les jours, il est fonctionnaire de Police. Pendant longtemps, ses horaires ne lui ont pas permis de vivre sa passion du basket, de supporter l’Elan Chalon, comme il l’aurait souhaité. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. «J’ai découvert et pratiqué le basket à l’école. Je suis fan de ce sport. Je suis membre d’Elan Passion depuis plus de 15 ans», explique Michel Colombet.

Et Elan Passion, il adore. «C’est une grande famille. On aime se retrouver. Ca rassemble des enfants, mais aussi des anciens, des têtes blanches. On se connaît tous…»
Michel Colombet est admiratif devant l’équipe coachée par Jean-Denys Choulet : «On est dans une petite ville et avec l’Elan on vit un miracle permanent. Oui un miracle quand on voit notre budget comparé à celui des autres et les performances que notre équipe est capable de réaliser». Et de poursuivre :
«Mais avec le travail de Dominique Juillot, de Jean-Denys Choulet et, avant, de Greg Beugnot, on est allé chercher ces pépites qui nous font rêver et additionnent les bons résultats et les performances».
L’œil avisé, Michel Colombet est catégorique : «Cette année on a une équipe exceptionnelle. Tout le monde rame dans le même sens. Et puis Choulet aime le basket spectacle, le basket d’attaque, et c’est forcément très agréable à regarder».
Quand on lui demande de classer les trois faits marquants de la saison, le membre d’Elan Passion n’hésite pas : «En premier la défaite à la maison contre Nancy. Car elle a servi de déclic. En deux, la qualification contre Ostende. Et puis en trois, la victoire contre Nanterre, après prolongation».
La finale : «Nanterre et Chalon ce sont deux équipes qui se ressemblent. J’espère que tout le public va peser pour porter l’Elan. Et pour les play-off j’espère qu’on passera le premier tour. A la maison on est capable de battre tout le monde. Ce qui pourrait nous limiter, ce sont nos faibles capacités de rotation. Mais j’espère qu’on va pouvoir recruter des renforts».

Alain BOLLERY