Chalon dans la rue
Hébergeurs et hébergeuses d'artistes du off de Chalon dans la rue, vous êtes attendus comme le messie !
Publié le 23 Avril 2017 à 11h52

Gérer de façon optimale un festival tel que Chalon dans la rue n’est pas une mince affaire. Dans la logistique il y a le volet hébergement pour les artistes du off, lesquels doivent se débrouiller pour ne pas, notamment, dormir à la belle étoile. Alors, quand des âmes charitables de Chalon-sur-Saône ou du Chalonnais proposent de leur faciliter à la vie à ce sujet, c’est quasiment le Pérou pour les bénéficiaires…
Du respect dans les deux sens, et in fine un enrichissement humain réciproque
Inlassablement, tous les ans l’équipe organisatrice de Chalon dans la rue bat le rappel afin qu’il y ait un maximum d’offreurs d'hospitalité. A L’Abattoir/Centre national des arts de la rue met-elle à un moment donné le pot des hébergeurs en place, afin de remercier celles et ceux qui ont déjà œuvré dans ce domaine, et lancer officiellement la campagne officielle de recrutement. Pas un luxe lorsque l’on sait que le coût d’une nuitée s’élève à une cinquantaine d’euros au minimum…En 2016, ce sont quatre-vingt-seize artistes de vingt-six compagnies qui ont été reçus à un degré ou à un autre, par trente-cinq familles. En trois ans, le bilan se monte à pas loin de deux cent cinquante artistes. Et il y a encore largement de quoi faire ! Exit les conditions draconiennes ! Il suffit de parfois pas grand-chose pour débloquer des situations matérielles peu ou prou insurmontables : une chambre, un canapé, une cour, un espace dans le jardin afin d'y accueillir une tente. En maître des lieux, c'est vous qui voyez ! Un prêt temporaire dont vous êtes le prestataire de services, et de l'autre de bienheureux attributaires qui comptent sur la générosité publique au sens large, puisque les spectacles dont ils sont les garants permettent aux spectateurs d'y assister sans bouse délier, si ce n'est pour leur glisser la pièce sans obligation autre que leur bon vouloir. C'est aussi sans conteste la possibilité, de par cette terre d'asile, de communiquer avec des personnes soucieuses de donner du sel à la vie dans le cadre de leur activité. Une manière de vivre le festival à nulle autre pareille. Donnant-donnant, gagnant-gagnant ! Alors, pour reprendre les slogans 2017 de Chalon dans la rue : « Envie de partager un verre avec un artiste ? Hébergez-le ! » ; « Envie de partager un café avec un artiste ? Hébergez-le » ; Envie de partager un petit-déj' avec un artiste ? Hébergez-le ! »
Renseignements auprès de Maxime au 03.85.90.94.75, ou par mail : [email protected]
Michel Poiriault



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