Opinion de droite

Paul Dressler réagit à la tribune de Maxime Thiébaut et Agnès Lenôtre-Ancion

La réponse des principaux intéressés.

Suite à l’article paru dans Chalon-infos du 23 Mai 2015, intitulé « Ne tournons pas autour du pot les chalonnais n’ont pas accroché à cet événement », un citoyen normal souhaite apporter les précisions suivantes à cet article rédigé par Agnès Lenôtre-Ancion et Maxime Thiébaut.

Si la conclusion de leur éditorial semble être « Nos compatriotes recherchent autre chose que l’enchainement perpétuel de commémorations. Pendant la campagne des élections départementales, nombreux furent ceux « »d’avoir pour premier magistrat un homme qui ne regarde pas vers l’avenir. »

Il n’en demeure pas moins que face à leurs affirmations, c’est par le sacrifice de nos compatriotes, qu’ils peuvent s’exprimer aujourd’hui librement. Cependant, leurs préoccupations premières à l’heure actuelle semblent plus pencher vers le portrait en duo dans la presse locale que par leurs absences remarquées lors des diverses cérémonies commémoratives. Qu’en est-il de leurs prétendues grandes responsabilités politiques locales, si ce n’est paraître ?

 

Paul DRESSLER - Président du Comité de Liaison des associations patriotiques

 

ACTUALISE - La réponse de Maxime Thiébaut à Paul Dressler

Je me joins à Agnès Lenôtre-Ancion pour remercier Monsieur Dressler de s’intéresser à notre engagement politique. Je tiens à le rassurer, nous ne manquons pas de commémorer ceux qui se sont battus pour la France et ses valeurs. Il n’est néanmoins pas nécessaire de s’exhiber pour se souvenir de nos aïeuls. L’instrumentalisation politique de ces moments de recueillement m’est d’ailleurs insupportable.
A ce Monsieur qui s’octroie le droit de décerner des brevets de patriotisme, j’ajouterai que le 9 novembre de chaque année, je me rends à Colombey-les-deux-Eglises pour me ressourcer et participer au traditionnel hommage rendu à ce dernier grand homme d’Etat qu’ait connu la France : le Général de Gaulle.
Si Monsieur Dressler est intéressé, je serais ravi de partager avec lui autour d’un café afin notamment de connaitre son avis ce lien entre connaissance de l’histoire et définition « d’une certaine idée » de l’avenir. Notre classe politique actuelle l’a malheureusement oublié ; se restreignant à ne penser qu’à sa réélection. C’est ce qui fait notamment dire à James Freeman Clarke : « L’homme politique pense à la prochaine élection. L’homme d’Etat à la prochaine génération. »

Bien cordialement,
Maxime Thiébaut

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