Chalon sur Saône

Une coiffeuse Chalonnaise qui n'a pas sa langue dans sa poche

Une coiffeuse Chalonnaise qui n'a pas sa langue dans sa poche

Depuis que le port du masque était obligatoire dans la rue, Yvonne Desplaces a fait de la devanture de son salon de coiffure une tribune de contestation contre ce qu'elle appelle la propagande. Plus de détails avec Info Chalon.

Si vous arpentez l'Avenue de Paris, impossible de rater la vitrine de Salon Ève.


«Depuis le mois de mars 2020, je ne trouvais pas normal qu'on nous fasse le décompte des morts, c'est inédit! Nous n'avons jamais eu ça pour toutes les autres maladies!», s'exclame Yvonne Desplaces, une coiffeuse Chalonnaise qui n'hésite pas à se déclarer «Gauloise Réfractaire».


«Moi, je m'en moque qu'on me traite de populiste ou de complotiste! Je prends même cela pour un compliment car dans populiste il y a "peuple" et si dénoncer un complot, c'est être complotiste, alors je le suis! Je me base sur des faits avec des chiffres officiels qui viennent entre autres de l'INSEE et l'OMS ou des spécialistes reconnus», explique-t-elle.


En effet, loin de rester inactive depuis le premier confinement, cette coiffeuse dont la réputation n'est plus à faire s'est documentée de toutes parts.


«Suite à mes recherches, j'affirme sans hésiter qu'il n'y a pas eu de surmortalité en 2020 et que les jeunes ne sont pas touchés. Zéro mort chez les enfants bien portants!Avec ce vaccin, les jeunes risquent des myocardites et des tromboses donc non, merci!», ajoute-t-elle.


«Je ne trouve pas normal que les médecins étaient empêchés de prescrire, selon les principes d'Hippocrate, pendant la période d'épidémie. Certains ont même eu des pressions de l'Ordre des médécins pour avoir soigner leurs patients.Durant les deux mois de confinement, les médecins ont vu leur activité baisser de 40%. C'est une situation inédite!», précise Yvonne.


«Je ne suis pas une anti-vaccin mais dans ce cas précis, je suis contre les vaccins proposés dans les centres de santé. C'est du bidouillage d'ARN ou d'ADN dont l'efficacité n'est prouvée que par les laboratoires qui les fabriquent. Un peu mince, vous ne trouvez pas? Ils ont été mis sur le marché conditionnellement et dans l'urgence sous prétexte qu'il n'y avait aucun traitement. Or, c'est complètement faux! Il y a l'ivermectine et l'hydroxychloroquine qu'on peut associer aux vitamines C et D ou le zinc», continue cette dernière.


«Un ministre de la santé digne de ce nom aurait fait prendre de la vitamine D et du zinc à la population car c'est un véritable booster d'immunité. On a jeté l'opprobre sur l'hydroxychloroquine, le professeur Raoult et pendant ce temps-là, l'Union Européenne, donc y compris la France, a depensé "un pognon de dingue" pour acheter du remdesivir, le médicament de Gilead, en octobre 2020, alors qu'en juillet, les hautes autorités de santé reconnaissaient son inefficacité voie sa dangerosité au niveau des reins», dénonce ce maître artisan coiffeur.


«D'ailleurs, dès le début novembre, l'OMS déclarait que ce traitement était inefficace, alors pourquoi en avoir acheter les deux semaines suivantes?», interroge-t-elle.


La gérante du salon Ève n'hésite pas à parler de «collusions et des arrangements avec l'industrie pharmaceutique».


«Je ne fais pas confiance à des laboratoires qui cumultent plus de 23 condamnations et qui ont été condamnés à verser 2,3 milliards pour publicité mensongère», prévient-elle, prenant pour exemple des scandales sanitaires comme celui impliquant le laboratoire Sanofi accusé en 2015 d'avoir mis au point un vaccin contre la dengue ayant entraîné la mort de centaines d'enfants aux Philippines ou celui impliquant le laboratoire Pfizer condamné par le gouvernement nigérian pour avoir tester clandestinement en 1996 le Trovan, un antibiotique contre la méningite sur 200 enfants dans l'État de Kano, alors même que les preuves médicales de son efficacité contre la méningite n'avaient pas été réunies. 11 sont morts et les autres souffrent encore de surdité, paralysie, troubles de la parole, lésions cérébrales et cécité.


«Avec ma vitrine, j'espère à mon petit niveau, susciter le débat, la réflexion ou démontrer qu'il y a d'autres sources d'information que les merdias classiques avec des journaleux à la botte des milliardaires», conclut la coiffeuse Chalonnaise qui n'a peut-être pas sa langue dans sa poche mais garde le sourire.

 

 


Karim Bouakline-Venegas Al Gharnati