Culture

Plus de 600 personnes pour la soirée Dancing People Don't Die du samedi à l'Abattoir

Par Karim BOUAKLINE-VENEGAS AL GHARNATI

Publié le 12 Octobre 2021 à 06h00

Plus de 600 personnes pour la soirée Dancing People Don't Die du samedi à l'Abattoir

Point d'orgue du festival Dancing People Don't Die, la soirée du samedi 9 octobre a attiré plus de 600 personnes à l'Abattoir. Plus de détails et retour en images avec Info Chalon.

Organisée par LaPéniche, la troisième édition du festival Dancing People Don't Die s'est déroulée du 7 au 9 octobre 2021. 


Riche en émotions  et variée, la programmation de cette «orgie sonique» faisait également la part belle à la gent féminine.


Et de deux! 


Le festival a attiré plus de 600 personnes, ce samedi 9 octobre. Une soirée avec une pléthore de musiciens  tous aussi talentueux les uns que les autres qui ont joué sur les deux scènes du site de l'Abattoir et qui s'est prolongée jusqu'au dimanche matin.


À côté des concerts prévus ce soir-là, Mélodie Rageot donnait rendez-vous aux plus audacieux pour les maquiller et les coiffer dans son hair truck, le food truck de Xavier Kiener et Jules Béguet de C'est dans la boîte, Stéphane Kriegel, était présent pour la prévention, au même titre que Ludovic Anglade, président de l'association Rainbow.


Au programme de cette soirée pas piquée des hannetons, Aria 3000 (Frite enchantée/Lyrique popysé) avec Fanny Chamboredon, Hélène Biwel et Clément Vallery (à qui nous devons l'affiche du festival) la musique froide des pays chauds d'In Poupoune We Trust, la DJette Miss Leïa au style drum and bass, la lyonnaise Flore avec sa bass music à l'âme généreuse, l'electropoprock des Vulves Assassines avec la grande gueule et les synthés crasses de DJ Conant, les gros muscles au service du petit sampler de MC Vieillard, sans oublier Sam, véritable génie de la guitare électrique, Josy Fullvibes avec un DJ set qui conjugue le mix au féminin, la techno envoûtante de la berlinoise Juliet Fox, Kasbah ou la culture club de Nadir Moussaoui qui embarquait les festivaliers dans un voyage sonore entre Orient et Occident, et pour finir la psychoélectro d'Auvergne du groupe Super Parquet qui explore l'ébouriffant univers des musiques traditionnelles.


Une soirée d'anthologie qui n'inspire qu'une seule pensée : vivement la quatrième édition de Dancing People Don't Die! 

 

 

Karim Bouakline-Venegas Al Gharnati