Crissey

Le nouveau conseil local des jeunes voit le jour à Crissey

Le nouveau conseil local des jeunes voit le jour à Crissey

Le nouveau conseil local des jeunes s’est mis en place samedi 16 Octobre avec les 8 premiers candidats. Un appel à candidature est lancé, le conseil peut monter jusqu’à 15 élus.

Le conseil municipal s’était donné pour objectif d’impliquer les jeunes dans la vie démocratique de la commune en créant le CLJ. Cela permettra aux jeunes de mener des projets d’intérêt général, de donner leur avis sur les projets communaux, de relayer les actions du CLJ ou celles de la commune auprès du public « jeunes ».

Après appel à candidature, 8 jeunes âgés de 10 à 18 ans, résidant sur la commune, ont pris leur fonction au CLJ. Ils sont élus pour un mandat de 3 ans. Le conseil local des jeunes est un bon moyen mis à leur disposition pour s’exprimer et participer activement à la vie de la commune. Comme dans chaque séance de conseil un ordre du jour a été établi définissant les sujets à traiter. Cette première séance était consacrée à l’installation du conseil, la prise en main des premières délibérations, l’adoption de la charte de fonctionnement du CLJ. Chaque réunion est précédée d’une convocation adressée 15 jours avant avec l’ordre du jour et sera suivie d’un compte-rendu. Les réunions plénières sont présidées par Monsieur le Maire ou l’adjoint délégué à la jeunesse. Les réunions en commissions peuvent avoir lieu aussi souvent que nécessaire avec ou sans la présence d’élus de la commune ou d’autres intervenants. Pour pouvoir interagir et mener à bien des projets, il faut des moyens financiers en investissement et fonctionnement, ceux-ci seront intégrés dans le budget communal.

Les jeunes se sont mis au travail car des projets, ils en ont : le city stade qui est à refaire complètement, la reprise en main du cinéma sous les étoiles, développer les actions citoyennes autour de l’environnement…

La municipalité prévoit des temps forts pour ces jeunes du CLJ, un vrai rapport avec la démocratie en les emmenant si cela est possible au département et pourquoi pas à l’assemblée nationale.

                                                                                                          C.Cléaux