Politique de droite
LEGISLATIVES (4e circonscription de Saône et Loire) - Pour le ticket Gros-Vadot (LR), "l'enjeu ultime, c'est le redressement de la France"
Publié le 24 Mai 2017 à 07h42

Pour sa deuxième réunion publique, Stéphane Gros a fait le plein. Près de 350 personnes, une trentaine de maires, de présidents d’intercommunalité, de conseillers départementaux, ainsi que « ses amis du foot et de la pétanque » sont venus le rencontrer à Simard, mardi 16 mai dernier : certains sont restés debout, d’autres à l’extérieur près des baies ouvertes.
Communiqué
Le maire d’Ormes, vice-président de son intercommunalité (née des fusions de celles de Cuisery et Ouroux) et candidat Les Républicains (LR) dans la 4e circonscription de la Bresse et du Val de Saône, âgé de 36 ans, a expliqué qu’il « veut être un député utile et efficace au service du territoire ».
C’était aussi l’occasion de présenter son suppléant Anthony Vadot, maire de Branges et vice-président du Conseil départemental : « Nous nous connaissons si bien, nous sommes complémentaires. Je compte sur lui pour nous mener à la victoire. ».
Aline Gruet, conseillère départementale, que Stéphane Gros juge « très courageuse, dynamique et humble à la fois », préside son comité de soutien.
Stéphane Gros se veut « un candidat du cru qui a grandi ici et travaille ici ». Il veut être un député de proximité, rester proche des gens et incarner la jeunesse et le renouvellement en précisant que « comme la majorité des français, je cotise pour ma retraite par le seul fruit de mon travail quotidien dans mon entreprise, ce qui me donne conscience de la réalité de la vie, du fait que rien n’est acquis, que tout se mérite ».
De ses mandats de maire et de vice-président de son intercommunalité, il estime qu’« Il faut un esprit de consensus en politique pour faire avancer les choses et défendre au mieux les intérêts de la 4e circonscription. Je préfère l’efficacité et travaillé mes dossiers pour qu’ils aboutissent, être à l’écoute des personnes qui sont dans la nécessité», sans perdre de vue que « l’objectif ultime de la politique est de rendre la dignité à la nature humaine et tenter d’améliorer le destin des gens ».
Le candidat LR a abordé de nombreux points. Il a d’abord défendu la valeur travail : «Je veux me battre pour que celui qui travaille gagne toujours plus que celui qui ne travaille pas. Nous remettrons en place la défiscalisation des heures supplémentaires, tout en libérant l’esprit d’entreprise. Nous proposons d’ailleurs une baisse des charges salariales pour les salariés et patronales pour les PME. »
Stéphane Gros a ensuite affiché la conviction de « lutter contre la désertification médicale, une catastrophe à venir, en prenant le taureau par les cornes en imposant aux jeunes médecins de venir une ou plusieurs années à l’issue de leurs études dans les régions rurales et péri-urbaines ».
Il souhaite « l’amélioration des salaires et des retraites les plus modestes, une meilleure accessibilité au prêt bancaire pour les jeunes souhaitant devenir propriétaires, et le maintien des écoles dans les petites communes… A ce sujet il s’est positionné contre les pôles scolaires. Il a pris l’exemple de son école à Ormes qui fonctionne très bien et qui comme partout est le fondement de la vie sociale des petites communes".
Stéphane Gros a ensuite abordé la notion du patriotisme, « ce sentiment d’acquérir et de véhiculer une certaine idée de la France, sans haine des autres et sans leçon à recevoir de quiconque à ce sujet», a-t-il lâché.
Enfin, Stéphane Gros a parlé de politique nationale. «Edouard Philippe est un premier ministre de droite. Je reste fidèle à mes convictions en imaginant pouvoir parler avec lui, en conservant à l’idée cet enjeu ultime qu’est le redressement de la France ».
Pour cela, a-t-il conclu « ne nous dispersons pas, votons utiles dès le premier tour, pour assurer ensemble le renouvellement tant attendu du paysage politique français !
Le maire d’Ormes, vice-président de son intercommunalité (née des fusions de celles de Cuisery et Ouroux) et candidat Les Républicains (LR) dans la 4e circonscription de la Bresse et du Val de Saône, âgé de 36 ans, a expliqué qu’il « veut être un député utile et efficace au service du territoire ».
C’était aussi l’occasion de présenter son suppléant Anthony Vadot, maire de Branges et vice-président du Conseil départemental : « Nous nous connaissons si bien, nous sommes complémentaires. Je compte sur lui pour nous mener à la victoire. ».
Aline Gruet, conseillère départementale, que Stéphane Gros juge « très courageuse, dynamique et humble à la fois », préside son comité de soutien.
Stéphane Gros se veut « un candidat du cru qui a grandi ici et travaille ici ». Il veut être un député de proximité, rester proche des gens et incarner la jeunesse et le renouvellement en précisant que « comme la majorité des français, je cotise pour ma retraite par le seul fruit de mon travail quotidien dans mon entreprise, ce qui me donne conscience de la réalité de la vie, du fait que rien n’est acquis, que tout se mérite ».
De ses mandats de maire et de vice-président de son intercommunalité, il estime qu’« Il faut un esprit de consensus en politique pour faire avancer les choses et défendre au mieux les intérêts de la 4e circonscription. Je préfère l’efficacité et travaillé mes dossiers pour qu’ils aboutissent, être à l’écoute des personnes qui sont dans la nécessité», sans perdre de vue que « l’objectif ultime de la politique est de rendre la dignité à la nature humaine et tenter d’améliorer le destin des gens ».
Le candidat LR a abordé de nombreux points. Il a d’abord défendu la valeur travail : «Je veux me battre pour que celui qui travaille gagne toujours plus que celui qui ne travaille pas. Nous remettrons en place la défiscalisation des heures supplémentaires, tout en libérant l’esprit d’entreprise. Nous proposons d’ailleurs une baisse des charges salariales pour les salariés et patronales pour les PME. »
Stéphane Gros a ensuite affiché la conviction de « lutter contre la désertification médicale, une catastrophe à venir, en prenant le taureau par les cornes en imposant aux jeunes médecins de venir une ou plusieurs années à l’issue de leurs études dans les régions rurales et péri-urbaines ».
Il souhaite « l’amélioration des salaires et des retraites les plus modestes, une meilleure accessibilité au prêt bancaire pour les jeunes souhaitant devenir propriétaires, et le maintien des écoles dans les petites communes… A ce sujet il s’est positionné contre les pôles scolaires. Il a pris l’exemple de son école à Ormes qui fonctionne très bien et qui comme partout est le fondement de la vie sociale des petites communes".
Stéphane Gros a ensuite abordé la notion du patriotisme, « ce sentiment d’acquérir et de véhiculer une certaine idée de la France, sans haine des autres et sans leçon à recevoir de quiconque à ce sujet», a-t-il lâché.
Enfin, Stéphane Gros a parlé de politique nationale. «Edouard Philippe est un premier ministre de droite. Je reste fidèle à mes convictions en imaginant pouvoir parler avec lui, en conservant à l’idée cet enjeu ultime qu’est le redressement de la France ».
Pour cela, a-t-il conclu « ne nous dispersons pas, votons utiles dès le premier tour, pour assurer ensemble le renouvellement tant attendu du paysage politique français !

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